Résumé :
Dans ce monde, l’amour est interdit…
Lena vit dans un monde où l’amour est considéré comme la pire des maladies. À dix-huit ans, tous les jeunes sont soumis au « Protocole » et subissent une opération du cerveau : aussi, aucun risque qu’ils tombent amoureux, ne se laissent guider par les sentiments. À quelques mois de ses dix-huit ans, Lena se sent prête. Sans imaginer qu’une rencontre va tout faire basculer.
Imaginez qu’on vous prive de tout sentiments. Que la liberté ne soit plus qu’un vieux souvenir dénué de sens. Jusqu’où iriez-vous pour garder le droit d’aimer ?
Mon avis :
Dans ce livre, Lauren Olivier nous emmène dans un monde où l’amour est prohibé. A 18 ans, tous les adolescents doivent subir le Protocole, une opération chirurgicale qui permet de ne plus éprouver de sentiments. Léna est convaincue que ce traitement est indispensable pour vivre heureuse. Mais, alors qu’elle rencontre Alex, l’héroïne commence à douter : l’amour est-il vraiment le pire des maux que la Terre n’est jamais portée ? Car Léna se sent ivre d’amour, elle goûte aux plaisirs interdits. Mais jusqu’où ira-t-elle pour conserver ses sentiments ?
Cette lecture ne m’a pas transcendée, loin de là. Au début, le résumé me faisait envie, je voulais découvrir ce monde où l’amour était interdit. Mais, au fur et à mesure que je tournais les pages, l’envie a fait place à un tout autre sentiment : la frustration. En effet, je m’attendais à mieux. Cette déception est grandement due à la personnalité de l’héroïne.
Je ne me suis pas attachée à Lena, que j’ai trouvé trop peureuse. Au début, je me suis reconnue dans ce personnage, mais ce moment de reconnaissance fut bref. Lena est vraiment trop naïve et dépendante de ses proches. Elle n’a pas d’esprit d’initiative, sa vie est rythmée par la peur et la faiblesse.
Alex, de son côté est le personnage qui m’a le plus plu. Il est très différent de Lena, il est intrépide et mystérieux. Même s’il n’est pas le meilleur individu que j’ai jamais rencontré, il reste très intriguant.
La romance entre Lena et Alex n’est certes pas ma préférée, mais elle est belle, avec un soupçon de romantisme.
Hana, l’amie de Lena m’a séduite. Je l’ai vraiment adorée, même si j’ai pensé que sous ses grands airs, elle est aussi faible que sa copine. (la fin nous le démontre d’ailleurs).
J’ai été touchée par l’histoire de la mère de l’héroïne. C’est vraiment atypique. Au commencement, j’ai compati avec Lena, mais à force, cette dernière m’a énervée. Elle ne fait que de se plaindre alors que sa génitrice est morte depuis plus de 12 ans ! Cependant, la révélation la concernant vers la fin du livre m’a surprise.
Voici les derniers mots bouleversants qu’a prononcé la mère de Lena :
Je t’aime… Souviens-toi, Ils ne peuvent pas nous enlever ça.
En outre, l’élément incontournable de l’histoire reste et restera le décor. En effet, Lauren Olivier a fait preuve de beaucoup d’imagination qui m’a poussée à me questionner : comment réagirai-je, si, du jour au lendemain, le gouvernement nous interdisait d’aimer ? Cette question-là m’a fait beaucoup réfléchir.
Par contre, j’ai trouvé l’intrigue assez plate. Il ne se passe rien dans la vie de Lena, c’est terne et très répétitif. Le seul moment où j’étais addict était dans les 100 dernières pages ! On sent que c’était la fin, et les révélations se font plus nombreuses et surprenantes (avec, enfin, un peu d’action) !
Une lecture que je ne regrette absolument pas, qui m’a permis de découvrir un best-sceller. Un livre qui, nonobstant le manque d’action, reste agréable à lire.
Vous devez comprendre. Je n’ai rien d’extraordinaire. Je ne suis qu’une fille quelconque. Je mesure à peine un mètre soixante et je ne possède aucune qualité remarquable.
Mais j’ai un secret. Érigez des mur jusqu’au ciel et je trouverai le moyen de m’envoler pour les franchir. Essayez de m’immobiliser avec cent mille bras et je trouverai le moyen de résister. Et je ne suis pas la seule. Nous sommes plus nombreux que vous le pensez. A refuser d’abandonner tout espoir. A refuser de garder les pieds sur terre. A aimer dans un monde sans murs, à aimer jusque dans la haine, à aimer lorsque les espoirs sont perdus, à aimer sans peur.
Je t’aime. Souviens-toi, ils ne peuvent pas nous enlever ça.
Ma note : 15,5/20.
Lisez ce livre si….. vous voulez de l’originalité et une belle histoire d’amour.
Laissez tomber ce livre si….. vous n’appréciez pas les héroïnes faibles d’esprit, et que vous voulez un livre qui vous tient en haleine.

ce livre est dans ma PAL, mais plus sur de vouloir le lire lol
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Après tu peux aimer, mais pour ma part ce livre ne m’a pas transcendée ! Un conseil : si tu n’aimes pas les descriptions trop longues et le manque d’action, ne lis pas ce livre ! Sinon, tu peux toujours tenter, tu m’en diras des nouvelles !^^
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il est dans ma PAL, donc je le livrais mais au vu de ce que tu as dis je vais pas aimé
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Après, ce n’est que ce que je pense, certaines personnes ont adoré ce livre !
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[…] Le premier tome de Delirium m’a également déçue par son manque d’action… C’est dommage, car je trouvais l’univers très original. Je ne sais pas encore si je lirai le tome 2… à voir. Ma chronique du premier tome est ici. […]
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[…] Chronique du premier tome ici. […]
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[…] pense ainsi à Delirium de Lauren Olivier : dans cette saga, Lena apprend également par le biais d’autres personnes, […]
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[…] pouvez retrouver mes chroniques du tome 1 et des tomes 2,3 ici et là. Pour résumer, je trouve dommage que l’intrigue ne soit pas à la hauteur du monde […]
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[…] mes auteures favorites, et c’est un euphémisme de dire ça. Je la connais pour avoir écrit Delirium et Le dernier jour de ma vie. Ses histoires sont sympa en soi, mais elles manquent de profondeur et […]
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[…] principal se révèle aussi avoir des émotions alors que ce n’était pas prévu, ou à Delirium, où Lena tombe amoureuse bien que ce soit proscrit) mais ça a fonctionné sur moi. En fait, je […]
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[…] de trouver un livre dans cette catégorie, mais j’ai finalement trouvé : il y a la saga Delirium de Lauren Olivier. Les personnages se réfugient dans la nature, car celle-ci symbolise la […]
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[…] Hana, la meilleure amie de Lena (l’héroïne dans Delirium). Je ne saurais pas expliquer pourquoi, mais il y a quelque chose qui m’a tout de suite plu […]
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