Coucou !
Nous nous retrouvons aujourd’hui pour le rendez-vous hebdomadaire Premières lignes, initié par Ma Lecturothèque. Je n’ai pas pu honorer ce rendez-vous dimanche dernier, comme vous l’avez peut-être remarqué, car j’étais malade et n’avais pas la force d’allumer mon ordinateur et de rédiger un article. Ceci dit, maintenant je vais mieux et j’ai choisi de vous partager les premières lignes de Chanson douce de Leïla Slimani.
J’avais lu ce prix Goncourt à sa sortie, en 2016. J’avais 15 ans et c’était, il me semble, l’un des premiers livres de littérature contemporaine que je lisais (je crois que c’était le premier de la collection blanche, en tout cas). Cette lecture m’avait totalement envoûtée : les personnages étaient parfaitement travaillés, et la plume de l’auteure m’avait saisie. J’avais cependant un peu plus de mal concernant l’intrigue, parce qu’elle ne m’avait pas tenue en haleine jusqu’au bout.
Si je souhaite vous partager les premières lignes de ce roman, c’est parce qu’il n’y a pas longtemps j’ai écouté des podcasts de Femmes puissantes. Femmes puissantes est une série de podcasts dans lesquels Léa Salamé interviewe une femme qu’elle qualifie de « puissante », et lui pose toutes sortes de questions. Je suis tombée sur l’audio de Leïla Slimani (je vous le mets ici si cela vous intéresse, c’est sur France Inter). L’écrivain explique qu’une femme qui a du pouvoir, pour elle, c’est une personne qui « accepte de déplaire », et qui peut « être imparfaite ». Elle parle aussi de sa carrière, de son père, du Maroc, de la place de la femme dans la société etc. Cette interview m’a donc inspirée : je l’ai trouvée très riche. Léa Salamé est une excellente journaliste, et Leïla Slimani m’a invitée à la réflexion. C’est la raison pour laquelle j’ai choisi de vous parler du roman Chanson douce aujourd’hui : je pense que cette auteure a une belle vision des choses et mérite d’être davantage connue ^^
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