Résumé :
Ma maladie est aussi rare que célèbre, mais vous la connaissez sans doute sous le nom de « maladie de l’enfant-bulle ». En gros, je suis allergique au monde. Je viens d’avoir dix-huit ans, et je n’ai jamais mis un pied dehors.
Un jour, un camion de déménagement arrive. Je regarde par la fenêtre et je le vois. Le fils des nouveaux voisins est grand, mince et habillé tout en noir. Il remarque que je l’observe, et nos yeux se croisent pour la première fois.
Dans la vie, on ne peut pas tout prévoir, mais on peut prévoir certaines choses. Par exemple, je vais certainement tomber amoureuse de lui. Et ce sera certainement un désastre.
Mon avis :
J’ai lu ce livre dans le cadre du challenge mensuel avec Laure. Elle m’avait donné pour objectif de lire un livre en anglais. Sous ses conseils, j’ai décidé de lire Everything Everything. Voici ma chronique.
Maddie n’est pas une adolescente comme les autres. En effet, elle est atteinte de la « maladie de l’enfant-bulle » : elle ne peut pas sortir de chez elle, car son système immunitaire est trop faible. Elle vit alors enfermée chez elle, avec pour seule compagnie sa mère et sa nourrice, Carla. Mais la petite vie paisible de Maddie va être bouleversée par l’arrivée des nouveaux voisins. Depuis l’arrivée d’Olly, leur fils, Maddie se sent pousser des ailes et ressent un besoin irrépressible de vivre, et de découvrir le monde.
Cette lecture a été très sympathique. J’ai bien aimé la plume fluide et légère de l’auteure. En plus, le concept du roman m’a beaucoup plu. Il est très original et novateur ; il change des romances classiques à la mord-moi-le-nœud.
La forme du livre m’a paru très intéressante : il y avait des fiches, des compte-rendus, des tchats, des notes,… répertoriés un peu partout dans le roman. Cette forme a rendu la lecture encore plus divertissante et agréable.
Maddie est mon personnage préféré. Ce qui m’a séduite chez elle, c’est son désir ardent de vivre : elle a cette force qui lui permet de ne pas craquer dans les moments les plus durs. Je ne sais pas comment elle a fait pour vivre pendant 18 ans cloîtrée chez elle, sans jamais sortir. Elle est très courageuse.
Olly, de son côté, est tout aussi fabuleux. Malgré son petit côté « bad boy », il prend soin de Maddy. Il est vraiment adorable. En outre, ses problèmes avec son père ont ajouté un peu de suspens à l’histoire.
Néanmoins, il y a un gros point négatif : la fin. La révélation finale m’a certes abasourdie, mais m’a aussi déçue. Pour moi, le dénouement était trop facile et happy end, ça ne collait pas du tout avec l’histoire. Je m’attendais plutôt à une conclusion amère, du genre : « ce n’est pas la vie que j’aurais voulu, mais je n’ai pas le choix, je dois vivre comme ça ». Sur ce coup-là, l’auteure n’a pas assuré.
Ce livre est très beau, il m’a fait passé un excellent moment de lecture, malgré la fin que j’ai trouvée inadaptée.
Je viens de prendre ce livre à la bibliothèque car il me semblait être une lecture légère donc tout ce qui me convient pour le train 😊
J’aimeAimé par 1 personne
Effectivement, ce livre convient parfaitement ! Surtout qu’il ne demande pas de concentration particulière, alors ça va tout seul 😉
J’aimeAimé par 1 personne
Oui et en feuilletant j’ai remarqué que la police était assez grosse donc je pense que ça va vraiment être très rapide haha 😉
J’aimeAimé par 1 personne
Ce livre est dans ma wishlist, j’ai très envie de le lire avant de passer à l’hiver où j’aime moins me plonger dans des lectures trop légères! 🙂
J’aimeAimé par 2 personnes
Alors tu sais ce qu’il te reste à faire : foncer acheter ce roman 🙂 ! J’espère que tu vas aimer !!
J’aimeAimé par 2 personnes
J’ai beaucoup aimé ce livre, c’est l’un de mes préférés! Pourtant il est vrai qu’une autre fin aurait pu être mieux. j’espère que son nouveau roman est aussi agréable à lire !
J’aimeAimé par 2 personnes
J’espère aussi, car il a vraiment l’air intéressant ! Je me demande bien comment Nicola Yoon va traiter le sujet des immigrés, des différences culturelles et du racisme.
J’aimeAimé par 1 personne
Je suis impatiente de le savoir 😉
J’aimeAimé par 2 personnes
[…] son côté, Laure m’avait mise au défi de lire un livre en VO ; j’ai donc lu Everything Everything de Nicola Yoon sous ses conseils. Ce livre a été très intéressant et relativement simple à […]
J’aimeJ’aime
J’ai adoré ce livre et même si j’avais deviné la fin 100 pages avant elle a quand même réussie à me toucher par la façon dont elle est tournée 🙂
J’aimeAimé par 2 personnes
Je suis contente que tu aies aimé 😉 C’est vrai que la fin est bien construite ! En tout cas, tu es très perspicace : pour ma part, jamais je n’aurai pensé à ce dénouement, même si, avec le recul, je me rends compte que ce n’est pas si surprenant que ça 🙂
J’aimeAimé par 1 personne
[…] La chronique de ce roman est disponible ici. […]
J’aimeJ’aime
J’essaye de improve my english, mais j’ai un niveau assez bas lol. Ton avis me donne envie, il est accessible? j’ai deja prévu de lire les livres pour enfants de meg cabot en anglais, en esperant ne pas trop me perdre >.<
J’aimeAimé par 1 personne
Ahaha, moi non plus je ne suis pas si brillante en anglais 😉 Everything Everything a été mon premier roman en VO, et franchement, je le trouve accessible. Je n’ai pas compris tous les détails, et j’ai parfois utilisé Google Traduction. Néanmoins, l’histoire est plutôt facile à comprendre et relativement courte, je te conseille de te lancer 🙂 Les livres de Meg Cabot doivent aussi pouvoir se lire en anglais, tu viens de me donner une idée ^^ Je re-lirai bien Journal d’une princesse en VO, du coup !!
J’aimeAimé par 1 personne
[…] à la citation : Everything Everything de N. […]
J’aimeJ’aime
[…] m’attendais à ce que ce roman soit une histoire sympathique et brève comme Everything Everything de Nicola Yoon, mais ça n’a pas du tout été le cas. Ce roman-là m’a beaucoup plus […]
J’aimeJ’aime
Il fait partie de ma Pal depuis des mois. Il faut que je m’y mette !
J’aimeAimé par 1 personne
Vas-y, fonce 😉
J’aimeJ’aime
[…] Everything. Ce livre-là m’avait plu, malgré une fin assez décevante (ma chronique est ici si vous souhaitez la lire – vous remarquerez d’ailleurs que dans ma chronique, écrite […]
J’aimeJ’aime